« Souvent je ne sais pas ce que je peins et dessine, mais je le sang. »
« Le clown n’est pas encore mort. »
« Je peins en vert et contre tout. »
« Peindre, c’est apprendre à renoncer.Les tableaux se font la nuit dans le secret de l’impossible »
« En peinture et en dessin, j’admets de me montrer comme je suis. Pour le reste je fais confiance à ma morale. »
« Un esprit sain dans un corset. »
« 1942 : mon père , l’absence irreversible. »
« Je ne suis que le fils d’un homme que je n’ai pas connu »
« L’intolérance zéro. »
« De mes amis, je connais l’odeur. »
« Il est 23 heures, j’écoute « Drumming » de Steve Reich. Peut-être suis-je le seul à écouter ce chef-d’œuvre. Ravel, TOUT. »
« Le jazz et moi ne sommes pas jumeaux. Une musique sans silences, une musique épidermique. »
« J’ai peur de mon passé infernal »
« L’alcool délie les langues. L’alcool tue. »
« Des hauts et des bas de soie. »
« En Forêt de Soignes, sur ce triangle vert, je me rappelle une branche. »
« Dans une valise, l’important est le contenu. Il en est de même pour l’être humain. »
« Si la canaille existe, j’aimerais en être. »
« Je casse donc je rêve. «
« Je ne suis pas un plasticien. »
« Surtout sans modération, la modération c’est pour les autres. »
« Pourquoi ai-je dit à cette femme que ses cuisses lisses ressemblaient à des obus ? »
« Un tableau est-il un imbroglio structuré ? »
« Le tableau un nœud gordien »
« La réalité est bonne à prendre. »
« J’aimerais tant étreindre ces trois petits avec qui, pour une fois, j’avais un avenir. «
« La tristesse, je m’en occupe. »
Extraits du livre « Passage » (Editions Espace B)